Les macérât extraits des bourgeons contiennent un concentré de tout ce qui va faire le végétal. Il y a en effet à la fois des cellules souches embryonnaires, des hormones, des substances vitaminiques nutritives. En fait, c’est tout un végétal en puissance. Il y a en effet dans le bourgeon ce qui deviendra une branche, des feuilles et des fruits. C’est dire son importance.
Par ailleurs, il existe une sympathie naturelle entre les hormones et les cellules souches embryonnaires des bourgeons et l’équivalent dans le corps humain. C’est ainsi que l’on considère que chaque type de bourgeons a une affinité particulière pour un tissu de l’organisme. Ainsi par exemple on pourrait citer l’action du romarin sur le foie, de l’amandier sur les artères. Mais on pourrait parler aussi de l’action de la vigne vierge sur les tendons, de l’aubépine sur le cœur, du boulot sur les défenses immunitaires, du pin sur le tissu osseux, de la framboise et de l’airelle sur les organes génitaux féminins, etc.