L’allergie printanière se traduit soit par de la rhinite, de la conjonctivite, des irritations de la gorge et parfois même une trachéite. Ces symptômes peuvent être confondus avec une infection virale. Chez les personnes qui ont tendance à faire de l'asthme, cela augmente les crises.
L’allergie printanière commence en mars avec les premiers pollens. Les yeux commencent à démanger, à larmoyer. Ensuite c’est la rhinite, le nez coule sans cesse et cet écoulement nasal se propage au fond de la gorge. Il peut s’accompagner de salves d’éternuements. Enfin dans les cas les plus importants, l’allergie printanière touche les voies respiratoires et cela se traduit par de la trachéite, des raclements de gorge, une toux sèche et un encombrement respiratoire.